The HOLY BIBLE
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Andrea Salvatore Buffa Denunce Pubbliche 02.03.1973 PALERMO
Via Vita 12, Petro SioN TP 91020 Italy
HOMEPAGE
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Il Santo Natale è il 2 marzo, Sofonia 1:10
Andrea Salvatore Buffa
Dec 25, 2022
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I AM THE EXPECTED CHRIST!
אני המשיח המצופה!
我是所期待的基督!
IO SONO IL CRISTO ATTESO!
JE SUIS LE CHRIST ATTENDU!
¡YO SOY EL CRISTO ESPERADO!
ICH BIN DER ERWARTETE CHRISTUS!
أنا المسيح المنتظر!
Я ЕСМЬ ОЖИДАННЫЙ ХРИСТОС!
मैं अपेक्षित मसीह हूँ!
私は期待されているキリストです!
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Un gran fracasso dalle colline Sofonia 1:10
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Napoli Franci 23/05/2024
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ASTENERSI DAI fArmAci e dal rivotarli
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La magistratura, una farsa della CIA di Hollywood
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La Verità vi accusa di complicità
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Arrestate Matteo Salvini e Giorgia Meloni !
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I gesti di riconoscimento segreti della Massoneria
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26 Maggio 2024
Covid: c’è troppo DNA nei vaccini?
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OCCORRE L'ANTIDOTO mRNA ANTICOAGULANTE, ditelo a Ugur Sahin, Robert Malone, Katalin Karikó e Drew Weissman
A Global Proclamation from Dr. Malone
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YOUR MEDiCINE !
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I blog nell'articolo sono stati censurati
La cura scientifica senza big pharma
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Covid : y a-t-il trop d'ADN dans les vaccins ?
Covid: c’è troppo DNA nei vaccini?
SUD RADIO BERCOFF
Ici Sud Radio. Les Français parlent aux Français. Sud Radio Bercoff dans tous ses états. ADN ARN vaccin l'info protéine Spike tout ça c'est de l'algèbre pour vous plus maintenant évidemment cela fait trois ans qu'on en parle mais là on va en parler avec Didier Raoult qu'est-ce qui se passe exactement à l'heure où nous parlons au niveau de ce qu'on sait de des des doses vaccinales de l'ADN et cetera Tout de suite. Sud Radio Bercoff dans tous ces états.
Le fait du jour. Tout autant effectivement on se demandait comment on allait faire pour fournir c'était il y a trois ans un peu moins encore bonjour Didier Raoult Bonjour. Vous êtes, on ne va pas vous présenter ancien patron de l'IHUS, l'IHU Marseille Méditerranée infection, microbiologiste et évidemment on connaît on connaît dans le monde entier on sait ce que vous avez fait et il y a un tweet que vous avez fait et qui travaille il y a deux jours et qui nous a frappés on voudrait vraiment l'explication vous avez dit ceci et très longtemps vous rappelez on a eu plusieurs entretiens et vous ne vouliez pas trop parler des vaccins c'était le problème des vaccins n'était pas là vous disiez j'en parlerai un peu plus tard et là vous avez écrit ceci dans ce qu'on a analysé dans ce que nous nous nous évidemment avec votre équipe on a analysé des doses vaccinales il y a beaucoup d'ADN et c'est très embêtant parce que vous ne savez pas s'il ne va pas rentrer dans les chromosomes et vous avez ajouté effectivement à la télévision, vous avez dit voilà ceci, vous avez dit le bidouillage que l'on a fait sur cette base pour que l'a r n dure plus longtemps a entraîné qu'un certain nombre de protéines qui ne sont pas la protéine Spike, mais des protéines inconnues se baladent dans le corps et dont on ne sait pas ce qu'elles font.
Donc le c'est le voilà ADN dans les lymphocytes voilà on voudrait comprendre un peu vous savez quand qu'est-ce qui se passe exactement et au fond sur les vaccins aujourd'hui qu'est-ce qu'on peut dire Voilà le le mécanisme habituel de formation des protéines, la protéine Spike qui est utilisée là pour immuniser les gens, c'est qu'on a besoin d'ADN qui est transformé en ARN messager. Cet ARN messager va dans une usine à protéine qui s'appelle le ribosome qui fabrique la protéine et cette protéine est sécrétée. Pour faire un vaccin ARN, on injecte directement de l'ARN, mais l'ARN est très fragile. On produit énormément d'ARN en permanence et donc on a besoin de l'éliminer. Notre corps élimine très vite l'ARN.
Et il y a des gens pour le prix Nobel pour ça qui ont trouvé une formulation de l'ARN en changeant une, il y a quatre bases si vous voulez, il y a quatre lettres dans l'ADN, il a quatre lettres dans l'ARN et il y en a une qui est différente entre l'ADN et l'ARN, c'est-à-dire dans l'ADN et l'urine dans l'ARN. On a changé le racine pour modifier le racine de manière à ce qu'elle ne soit pas dégradée et on s'est rendu compte et ça c'est une mauvaise nouvelle en décembre, c'est publié dans nature, ce n'est pas nous qui l'avons publié que quand il y avait trois de ces jurassimes modifiées de suite, et bien il y avait un sceau du ribosome par-dessus cette zone-là qui amenait à créer des protéines imprévues. Inconnus inconnus et imprévus, inconnus aussi. Inconnus aussi. D'accord.
On ne sait pas dans ces protéines ce qui a été sécrétée on n'en sait rien du tout. Une des hypothèses effectivement on sait qu'il y a deux protéines amyloïdes qui ne sont pas apparentes quand la spyte est complète mais quand la spyte est incomplète elles peuvent devenir apparentes avec les conséquences des protéines amyloïdes. Ça c'est une chose pour l'ARN. La deuxième chose c'est quand ce produit a été commercialisé, on a demandé qu'il n'y ait pas plus de dix nanogrammes, un nanogramme c'est un millième de microgrammes. Un milliard de microgrammes d'accord.
Par patch injecté. Tout ADN confondu puisque le danger c'est l'ADN. Cet ADN est dans des petites particules, des nanoparticules de lipides qui fait avec l'ARN qui fait que ça rentre dans la cellule. D'accord. Qui rentre dans la cellule, c'est là le problème c'est que l'ADN qui rentre dans les cellules peut s'intégrer à notre génome.
Théoriquement la mesure qui était considérée étant acceptable y compris par l'Europe était de dix nanogrammes par batch. Battant le batch ou ce que vous appelez le batch. C'est ce qu'on vous invite. C'est l'injection d'accord. La dose.
La dose c'est ça. Nous quand on a séquencé virus on s'est rendu compte que d'abord il y avait tout tout tout le ce qui produit l'ARN qui est là-dedans c'est-à-dire l'ADN qui allait produire l'ARN plus un initiateur de la reproduction de l'ARN et enfin un plasmide, c'est-à-dire un peu un mini chromosome de bactéries qu'on injecte en même temps. Et puis ça rentre bien. Et on s'est rendu compte qu'il y avait tout dedans dans dans à l'intérieur. Mais ce n'était pas spécifiquement intéressé, c'était cette découverte a été faite par d'autres, c'est très difficile à publier ces choses-là.
Donc les gens qui ont publié ça aux États-Unis, au Canada ont publié ça soit sur des blogs, soit sur des préprint et là ce qui vient de sortir c'était sur sur un journal qui était un journal chinois publié en Suisse qui fait partie du groupe MdPI qui est haï par toute la presse scientifique Mainstream. D'accord. Fait était quelque chose d'extrêmement intelligent, ils ont dit tiens puisque c'est dans des petites particules lipidiques, il est possible que les techniques que nous avons pour mettre en évidence la présence d'ADN ne soit pas bonne parce que nous n'allons pas réussir avec la PCR dont vous avez tellement entendu parler à modifier ce qu'il y est dans ces particules. Et donc qu'est-ce qui se passe si on prend ces particules qu'on les nettoie, on prend du twin, le twin c'est du savon. Le savon ça enlève comme vous savez et donc ça enlève les nanoparticules et on fait la mesure avant et après et de l'ARN et de l'ADN.
D'accord. Et qu'est-ce qu'on voit et bien c'est qu'il y a quatre-cent fois plus d'ADN que ce qui était autorisé par l'EMA si on fait comme ça au lieu de prendre la technique de qui a été faite en Europe d'une PCR sur une petite partie de la Spike. Ça veut dire qu'il y a cinq-cent fois plus d'ADN dans les particules que ce qui était autorisé. Et les conséquences de cinq-cent fois plus d'ADN c'est quoi Je n'en sais rien il y a dix pour cent dans ce que nous injutons après ce travail dans ce avec une dose, il y a dix pour cent de ce que nous injectons qui est de l'ADN et quatre-vingt-dix pour cent qui est de l'ARN. Alors penser c'était que l'ADN, l'ADN c'était des des des toutes petites quantités.
Donc ça pose une vraie question. Dans cet ADN, il n'y a peut-être pas d'ailleurs que l'ADN du virus, il y a peut-être de l'ADN de la bactérie qui était là, mais on injecte de l'ADN. Il faut savoir alors présent à l'esprit que nous avons la preuve depuis bien longtemps que l'ADN qui rentre dans les cellules peut parfaitement s'intégrer dans le génome. Il y a plein de virus dans ça. Donc il y a plein de séquences d'ADN.
Vous savez c'est l'objet de mon prochain livre, je ne vais pas trop le dévoiler, mais dans un génome humain, il n'y a que un pour cent de gènes. Il y a quatre-vingt-dix-neuf pour cent de choses répétées, de morceaux de séquences qui viennent de l'extérieur dont tout ne sait pas ce qu'elles font. On est dans une mère totalement. Il y a presque quatre-vingt-dix à neuf pour cent d'inconnus enfin le terrain est cognita si on peut dire. Quasiment oui la plus fréquente de toutes c'est une petite séquence qui fait un peu plus de trois-cent bases qui s'appelle alu et cette séquence dans votre génome elle est présente à un million d'exemplaires.
D'accord. Et on ne sait pas très bien c'est-à-dire qu'elle fait quatorze fois plus que vos gènes. D'accord Donc le niveau d'ignorance que nous avons sur la génétique humaine est incroyable. Il n'y a qu'une seule chose qui sait dont on sait à quoi Alu vous a servi à vous comme à moi, c'est à ne pas avoir la queue des singes. De ne pas avoir la queue des singes.
Parce que il y a une séquence à lui qui s'est intégré dans le gène de la queue des grands singes et de nous et que du coup elle a empêché la formation de la queue des singes. Voilà pourquoi nous n'avons pas le la queue des singes. Bon écoutez c'est déjà un résultat. Mais qu'est-ce que ça entraîne Didier Raoult Qu'est-ce que ça entraîne sur aujourd'hui Parce que sans encore une fois, faire du jugement définitif, ce n'est pas le problème. Et vous avez toujours dit la science, ça avance et on n'est pas là pour faire des jugements.
Mais qu'est-ce que ça entraîne sur, au fond, ce qui s'est passé avec les vaccins depuis trois ans, c'est à dire qu'il y a eu il y a encore beaucoup de terrain avec et on a lancé tout ça. Est-ce qu'on ne va pas vraiment lancer tout ça un peu hâtivement c'est l'éternelle question. Moi moi mon opinion depuis le début c'est qu'on l'a laissé on l'a lancé de manière trop hâtive, j'ai dit je suis très content je veux le répéter que tout ce que j'ai dit sur cette crise sur les mesures sociales et les mesures qui ont été tellement critiquées, Jean-François Dan Fressy qui était président du conseil scientifique qui a fini par dire que il était d'accord qu'ils avaient fait les erreurs et que singulièrement concernant les vaccins, ils avaient été beaucoup trop optimistes, Je lui écris pour le féliciter de reconnaître ces erreurs, vous avez vu que ce n'est pas commun, les politiques ne font jamais ça, les journalistes passent Mais Même les scientifiques ne font pas ça, certains. Parce que ce ne sont pas de vrais scientifiques. Les vrais scientifiques, ils sont en train de se tromper.
Ce qui les intéresse, c'est d'approcher la connaissance. Bien sûr. Bien, je lui ai écrit, il m'a dit la seule chose que je continue à penser, c'est qu'il fallait vacciner plus de soixante-cinq ans. Je le dis, je suis d'accord. J'ai toujours dit, il faut vacciner les gens de plus de soixante-cinq ans et les obèses qui ont un risque de faire une forme grave.
Le reste n'a pas d'évidence que ceci est la moindre utilité. Donc je pense la même chose et je n'ai pas été, je n'ai pas changé d'avis à partir de cela. Maintenant les gens qui avaient un bénéfice, je ne suis pas sûr qu'avec les variants que nous avons actuels qui sont beaucoup moins dangereux. Je ne suis même pas sûr de ce bénéfice. D'ailleurs, j'ai vu que la communication de l'État, c'était maintenant la vaccination après quatre-vingt ans quand même.
Oui, oui, c'est vrai. Vaccin à tout le monde, au vaccin après quatre-vingt ans, donc ils me rejoignent quand même de petits moments dépassés, vous voyez. Et donc c'est intéressant de voir les gens changer après je ne me fais pas d'illusions je vous ai déjà donné cette citation de Max Planck mais je l'aime beaucoup vous savez la vérité n'apparaît jamais mais ces détracteurs finissent par mourir. Oui la variance, c'est mets-toi au bord de la rivière et tu verras passer le cadavre de ton ennemi. Ce n'est pas la même chose, mais c'est assez rapproché.
Mais dites-moi, professeur About, aujourd'hui, justement par rapport à ce qu'on sait, on va chercher, on continue à chercher. Vous parlez de la Terra Incognita, vous parlez de des quatre-vingt-dix pour cent dans le génome de choses encore inconnues ou mal connues. Qu'est-ce qui fait que, est est-ce qu'on peut arriver sans rêver Ce n'est pas une question politique, c'est une question scientifique. Est-ce qu'au fond, les vaccins, vous comprenez et et quel était, on l'a beaucoup dit, quelle était la la la le temps entre la découverte d'un vaccin et son application de masse jusqu'ici Elle était de quelques années si je me trompe, si je ne me trompe pas. Bien sûr, bien sûr.
Oui. Et comment, oui. On a réussi à transgresser toutes les règles de sécurité qu'on s'était donné parce que depuis des années, je m'excuse de ne pas faire d'attaque à dominium, mais c'est tellement clair. Depuis les années Bill Gates déclare partout qu'on va avoir une épidémie qui va tuer tout le monde, que quand cette épidémie est arrivée très très rapidement à partir des deux premiers épisodes d'épidémie, On s'est rendu compte qu'il n'y avait que les gens de plus de soixante-dix ans qui mouraient. On n'allait pas éradiquer la population de la terre à condition de soigner les gens.
La grande différence qu'il y a eu entre Paris et Marseille, c'est qu'à Marseille, on va soigner les gens et qu'à Paris, on leur a dit de rester à la maison et de prendre du Doliprane. Il en avait qui avait des hypoxilles, ça se soigne ça comme la grippe, ça se soigne. Même si vous n'avez pas le médicament efficace, vous pouvez soigner les gens, il y avait des troubles de la coagulation, il y avait des hypoxies, il fallait soigner les gens, il fallait faire le diagnostic, mais à Paris l'organisation de l'assistance publique de Paris ne permettait pas de faire les tests diagnostic. Deux mois de retard là-dessus, on ne pouvait même pas faire les PCR. Donc, c'est ça qui a tué la question, c'est une des raisons pour lesquelles il faut continuer de parler de cette affaire, c'est avant l'approche le prochain épisode, moi je me suis rendu compte qu'il ne faisait pas les PCR, il n'avait pas les moyens de se faire fabriquer eux-mêmes leur PCR, il suffit d'acheter un petit synthétiseur, on a le tien de cette dizaine, on a fait nos mains.
Deuxièmement il n'y avait le nombre de CHU qui étaient équipés pour faire des génomes de manière moderne c'était un sur deux C'est que le niveau de l'équipement de la France, c'est celui de la Turquie. Donc il y a c'est vrai pour la radio aussi qui fait hériter parce que je dis ça mais globalement il y a à revoir l'organisation, la structure, la performance technique si vous voulez, c'est les problèmes, il existe des tas de problèmes qui sont tout aussi intéressants. On va en parler, on va en parler il y a justement de ce qu'il faut reprendre parce que encore une fois sur le plan scientifique, on ne va pas parler politique ou autre ou sociologie sur le plan vraiment de la manière dont gérer les choses parce qu'on a vu un peu ce qui s'était passé. Restez avec nous après une petite pause. On reprend avec Didier Raoult.
À tout de suite. Et zéro huit cent vingt-six trois cent cent avec vous pour réagir poser toutes vos questions à tout de suite sur Sud Radio. Sud Radio dans tous ses états, midi quatorze heures. André Berco. Ici Sud Radio.
Les français parlent aux français, les carottes sont cuites, les carottes sont cuites Sud Radio Bercoff dans tous ces états. On me dit à haute vous avez dit télévision c news pour la cité vous avez dit ici quand vous faites Pfizer la fougue à drogue administration américaine comme l'agence nationale de sécurité du médicament comme l'agence européenne des médicaments en Europe doit garantir qu'elle est le contenu de ce que vous injectez chez les gens. Est-ce que ça, ça fait partie des choses qu'on pourra faire parce que le capharnum, la polémique, enfin vous vous êtes bien placé pour savoir ce qui s'est passé depuis trois trois ans y compris à ce niveau-là. Est-ce qu'au fond cette transparence, est ce qu'elle est possible est ce qu'elle est envisageable est ce qu'elle est nécessaire sans parler des équipements comme vous avez dit un IHU sur deux n'est pas équipé Est-ce que c'est ça la transparence qui est le plus important Deux choses si vous voulez, vous me je suis comme vous je commence à avoir un certain nombre, je ne crois qu'une certaine expérience que je fais appel à celle-ci parce que c'est des documents qui sont accessibles puisque j'avais fait un rapport pour le ministère il y a vingt-deux ans.
D'une manière très intéressante donc la peur c'était une intoxication de la CIA, la peur de l'anthrax dans l'Irak dans le monde entier, c'était juste un cinglé qui avait travaillé pour l'armée américaine qui avait fait ça et donc au moment où c'est arrivé, on s'est rendu compte qu'il y a des poudres des gens qui faisaient des farces qui envoyaient des poudres avec la farine etcétéra il y en a eu mille-huit-cent en France. On s'est rendu compte que personne ne pouvait traiter ça. On était un des seuls endroits, on s'est fait, on a fait un tiers de la poudre, le reste a été fait par l'armée et un peu à l'institut pasteur. Il n'y a pas eu un autre CHU capable de le faire. À Paris, le CHU qui était responsable d'une des bestioles les plus dangereuses, les tuberculose multirésistantes n'avaient pas un laboratoire de sécurité de type p trois, il n'y en avait pas dans les CH.
Donc après C'est hallucinant. Un des essais un des effets positifs de mon rapport est qu'on les a équipés P trois parce que personne n'avait fait individuellement sauf moi parce que j'étais intéressé par ça et dans les bactéries dangereuses avec Eddy sur lequel je travaillais qui avait monté un p trois qui faisait déjà qui était déjà le plus grand p trois en France. À l'époque ce qui était extraordinaire, c'est je l'ai écrit ça vous pouvez le lire sur ce rapport. On avait acheté en France des antibiotiques qui s'appelle des kinolones qui n'étaient pas qui étaient encore brevetés, coûtaient très cher. Qui n'étaient pas brevetés, oui.
Qui n'étaient pas brevetés, qui étaient récentes. L'une de Bayer, la cyprochloxacine, l'autre la française, le rond de poulains et Peplastine. Quand je leur ai dit, mais pourquoi vous faites ça, le charbon Tout le monde sait que c'est sensible à tous les antibiotiques. On soigne ça avec la pénicilline, on soigne ça avec les tétracichylines aminosies, il dit on a fait comme les américains. Alors j'ai demandé aux américains pourquoi vous avez pris eux ils avaient pris que la SRIF au Fluxacie.
Ils en ont acheté des tonnes pour des milliards, ils ont créé des silos distribués aux États-Unis pour une maladie qui qui n'existait pas. Et la sydney phtalogsatim, ils m'ont dit c'est parce qu'il y a un modèle expérimental chez le lapin qui montre que ça marche bien alors qu'on avait des dizaines de cas de charbon traités et si vous ne me croyez pas bien droit de faire vous regardez traitement de l'anthrax et vous allez voir un truc qui est surréaliste sur internet, il ne sera peut-être pas demain parce que je le dis maintenant, si c'est un anthrax naturel pénicilline si c'est un anthrax du bioteuroïsme si vous qui ne l'homme comment il faut traiter différemment l'anthrax naturel de l'anthrax par bio terrorisme c'est parce qu'ils ne veulent pas reconnaître qu'ils ont couillonné les gens il y a vingt ans en achetant des milliards de médicaments qu'ils ont jetés. Donc si vous voulez si vous me demandez si on peut contrôler ça, ma réponse c'est non. La puissance financière de ça comparée à la puissance financière des États n'a rien à voir ni à celle de l'Europe. Vous savez les gens qui ont les doigts dans toute l'industrie pharmaceutique c'est Bill Gates, Vanguard et BlackRock.
Et BlackRock. C'est le troisième budget au monde après les États-Unis et la Chine. Comment on lutte contre ça Il faudra bien inventer des moyens de lutte contre des puissances de cette nature-là, ce qu'on ne sait pas faire. Oui et oui. Concernant, donc ma réponse est extrêmement pessimiste, je ne crois pas avec des gens qui ont des sommes de cette nature-là, rappelez-vous et ça a valu beaucoup d'hostilité, au début on avait regardé quel était le nombre de professeurs et de maîtres de conférences d'infectiologie qui n'avaient aucun conflit d'intérêt avec l'aide pharmaceutique.
Ce n'était pas compliqué, on était cinq, il y avait des et quatre à l'IHU. Donc, c'était c'est extrêmement sale, c'est très difficile, c'est eux qui payent les congrès, c'est eux qui payent les publications. Les études et caetera et caetera. Le et tout ça. La deuxième chose, c'est les équipements.
On sait là aussi, il suffit de lire, il y a un journal de l'OCDE qui sort tous les ans, il y en a un il y a deux ans qui faisait human health at glands, la santé pour l'Europe. On regarde le pays dans lequel il y a le moins de médecins par tête d'habitant, c'est la France. La France donc c'est pas Macron ça, c'est un nouveau racisme. Il a commencé bien avant bien avant. On a commencé avec Simone Veil.
On est passé de huit-mille-cinq-cents personnes formées par an à trois-mille avec une population qui avait augmenté de quinze pour cent et qui avait vieilli. Et c'est seulement maintenant qu'on a rejoint ce qui se passait dans les années soixante-dix, je ne sais pas, vous voyez la bande de fous technocrates qui gèrent ça. Si vous regardez toujours dans la même chose quel est le niveau d'équipement en France des scanners et des IRM, vous voyez qu'on est en dessous de la Turquie pour dire la vérité. Donc le niveau matériel et c'était pareil pour les sponsors, c'est-à-dire que l'argent en France il n'y a pas d'équipement, on n'achète pas les équipements. Donc il y a il y a un véritable problème de de compréhension du progrès qui ne consiste pas à acheter des médicaments hors de prix, mais à servir des moins chers quand ils marchent aussi bien.
Mais en revanche technologie et nouvelle, il faut s'en servir. Donc, il n'y avait pas de séquenceur, je le sais aussi puisque le président m'avait demandé d'aider à superviser la mise en place du séquençage de virus quand il s'est rendu compte qu'on séquencer moins vingt fois moins que l'Angleterre. Et on s'est rendu compte qu'il y avait un CHU sur deux qui n'avait pas de séquences. Scolaire. C'est inouï.
Donc, il n'y a pas de ligne directrice, c'est ça qui me choque. Il n'y a pas de ligne directrice. On ne dit pas écoutez voilà, pour faire face à la au prochain épisode, pour que tout le monde puisse faire des PCR, il faut que tout le monde puisse faire ses propres séquences de PCR. C'est cinq. Il faut pouvoir faire du séquençage, il faut pouvoir demander p trois.
Tout ça, c'est la modernité. Bien écoutez merci Paul Zaoud je vois que en tout cas tous les désespoirs sont permis dans une société à irresponsabilité illimitée, c'est un peu, c'est assez préoccupant. Merci.
ITALIANO
RADIO SUD BERCOFF
Covid: c’è troppo DNA nei vaccini?
Questa è Radio Sud. I francesi parlano con i francesi. Sud Radio Bercoff in tutte le sue forme. DNA RNA informazioni sul vaccino Proteina Spike tutto questo è algebra per te ovviamente non ne parliamo più da tre anni ma ora ne parleremo con Didier Raoult cosa sta succedendo esattamente nel momento in cui ne parliamo quello che sappiamo sulle dosi del vaccino a DNA e così via. Sud Radio Bercoff in tutti questi Stati.
Il fatto del giorno. Altrettanto efficacemente ci chiedevamo come avremmo potuto fornire tre anni fa un po' meno anche ciao Didier Raoult Ciao. Tu sei, non ti presenteremo, ex capo dell'IHUS, dell'IHU Marsiglia Méditerranée, microbiologo e ovviamente sappiamo che sappiamo in tutto il mondo sappiamo cosa hai fatto e c'è un tweet che hai fatto e chi funziona due giorni fa e chi ci ha colpito vorremmo tanto la spiegazione hai detto questo e per molto tempo ti ricordi che abbiamo fatto diversi colloqui e non volevi parlare troppo di vaccini era che il problema dei vaccini non c'era hai detto che ne parlerò un po' più tardi e lì hai scritto questo in quello che abbiamo analizzato in quello che ovviamente con il tuo team abbiamo analizzato le dosi di vaccino ci sono moltissimi DNA ed è molto fastidioso perché non sai se lo farà' t si adattava ai cromosomi e l'hai effettivamente aggiunto alla televisione, hai detto ecco questo, hai detto che il ritocco che abbiamo fatto su questa base affinché l'RNA durasse più a lungo ha prodotto un numero di proteine che non sono la proteina Spike, ma proteine sconosciute vagando per il corpo che non sappiamo cosa fanno.
Quindi ecco qui il DNA nei linfociti qui vorremmo capire un po' sapete quando cosa sta succedendo esattamente e sostanzialmente sui vaccini oggi cosa possiamo dire Ecco il consueto meccanismo di formazione delle proteine, la proteina Spike che viene utilizzata lì per immunizzare le persone, è che abbiamo bisogno del DNA che viene trasformato in RNA messaggero. Questo RNA messaggero entra in una fabbrica di proteine chiamata ribosoma che produce la proteina e questa proteina viene secreta. Per produrre un vaccino a RNA, iniettiamo direttamente l’RNA, ma l’RNA è molto fragile. Produciamo costantemente molto RNA e quindi dobbiamo eliminarlo. Il nostro corpo elimina l'RNA molto rapidamente.
E ci sono persone per il Premio Nobel che hanno trovato una formulazione dell'RNA cambiandone uno, ci sono quattro basi se vuoi, ci sono quattro lettere nel DNA, ha quattro lettere nell'RNA e ce n'è una diversa tra DNA e RNA, cioè nel DNA e l'urina nell'RNA. Abbiamo cambiato la radice per modificare la radice in modo che non fosse degradata e ci siamo resi conto e questa è una brutta notizia a dicembre, è pubblicata in natura, non siamo noi a pubblicarla che quando c'erano tre di questi Jurassime modificati di seguito, beh lì era un sigillo ribosomiale su quell'area che portava alla creazione di proteine impreviste. Incognite sconosciute e impreviste, anche incognite. Anche sconosciuto. Va bene.
Non sappiamo cosa fosse secreto in queste proteine; non ne sappiamo assolutamente nulla. Una delle ipotesi in realtà sappiamo che ci sono due proteine amiloidi che non sono visibili quando la proteina è completa ma quando la proteina è incompleta possono diventare evidenti con le conseguenze delle proteine amiloidi. Questa è una cosa per l'RNA. La seconda cosa è che quando questo prodotto è stato commercializzato, abbiamo chiesto che non fossero più di dieci nanogrammi, un nanogrammo è un millesimo di microgrammo. Un miliardo di microgrammi va bene.
Tramite cerotto iniettato. Tutto il DNA mescolato poiché il pericolo è il DNA. Questo DNA è in piccole particelle, nanoparticelle lipidiche che compongono l'RNA che gli permette di entrare nella cellula. Va bene. Quello che entra nella cellula, il problema è che il DNA che entra nelle cellule può integrarsi nel nostro genoma.
Teoricamente la misura considerata accettabile, anche dall'Europa, era di dieci nanogrammi per lotto. Battere il lotto o come si chiama il lotto. Questo è ciò che ti invitiamo a fare. Questa è l'iniezione, va bene. La dose.
Questa è la dose. Quando abbiamo sequenziato il virus, ci siamo resi conto che prima di tutto c'era tutto ciò che produce l'RNA che c'è, cioè il DNA che avrebbe prodotto l'RNA più un iniziatore della riproduzione dell'RNA e infine un plasmide, quello vale a dire un po' come un mini cromosoma batterico che viene iniettato contemporaneamente. E poi ci sta bene. E ci siamo accorti che dentro c'era tutto. Ma non era particolarmente interessato, è stata questa scoperta l'hanno fatta altri, è molto difficile pubblicare queste cose.
Quindi le persone che lo hanno pubblicato negli Stati Uniti, in Canada, lo hanno pubblicato su blog o su preprint e quello che è appena uscito è stato su un giornale che era un giornale cinese pubblicato in Svizzera che fa parte del gruppo MdPI che è odiato dagli tutta la stampa scientifica mainstream. Va bene. Questo fatto è stato qualcosa di estremamente intelligente, hanno detto: e dato che si tratta di piccole particelle lipidiche, è possibile che le tecniche che abbiamo per evidenziare la presenza di DNA non siano buone perché non riusciremo con la PCR che voi ho sentito tanto parlare di come modificare ciò che c'è in queste particelle. E quindi cosa succede se prendiamo queste particelle e le puliamo, prendiamo il gemello, il gemello è sapone. Il sapone toglie come sapete e quindi toglie le nanoparticelle e misuriamo prima e dopo sia l'RNA che il DNA.
Va bene. E quello che vediamo è che c'è quattrocento volte più DNA di quanto autorizzato dall'EMA se lo facciamo in questo modo invece di prendere la tecnica da cui è stata effettuata in Europa con una PCR su una piccola parte dello Spike. Ciò significa che nelle particelle è presente una quantità di DNA cinquecento volte superiore a quella consentita. E le conseguenze di cinquecento volte più DNA, cos'è? Non so, c'è il 10% in ciò che iniettiamo dopo questo lavoro in questo con una dose, c'è il 10% di ciò che iniettiamo che è DNA e il novanta% che è l'RNA. Quindi il pensiero era che il DNA, il DNA fosse una quantità molto piccola.
Quindi questo pone una vera domanda. In questo DNA forse non c’è solo il DNA del virus, forse c’è il DNA dei batteri che erano lì, ma noi iniettiamo il DNA. Dobbiamo quindi tenere presente che abbiamo da tempo la prova che il DNA che entra nelle cellule può integrarsi perfettamente nel genoma. Ci sono molti virus in questo. Quindi ci sono molte sequenze di DNA.
Sapete, è l'argomento del mio prossimo libro, non lo rivelerò troppo, ma nel genoma umano c'è solo l'1% dei geni. Ci sono il novantanove per cento delle cose che si ripetono, pezzi di filmati che vengono da fuori e che non tutti sanno cosa stanno facendo. Siamo totalmente in una madre. Ce ne sono quasi il novanta-nove per cento sconosciuti, quindi il terreno è cognita, per così dire. Quasi sì, la più comune di tutte è una piccola sequenza di poco più di trecento basi chiamata alluminio e questa sequenza nel tuo genoma è presente in un milione di copie.
Va bene. E non lo sappiamo molto bene, vale a dire che è quattordici volte superiore ai tuoi geni. Ok, quindi il livello di ignoranza che abbiamo sulla genetica umana è incredibile. Sappiamo solo di una cosa che Alu è stata utile a te e a me ed è quella di non avere la coda da scimmia. Non avere code di scimmia.
Perché esiste una sequenza propria che è stata integrata nel gene della coda delle grandi scimmie e di noi e quindi ha impedito la formazione della coda delle scimmie. Ecco perché non abbiamo la coda di scimmia. Bene, ascolta, è già un risultato. Ma cosa significa Didier Raoult Cosa significa per oggi Perché senza dare ancora una volta un giudizio definitivo, non è questo il problema? E tu hai sempre detto che la scienza sta progredendo e noi non siamo qui per dare giudizi.
Ma cosa significa, in sostanza, quello che è successo con i vaccini negli ultimi tre anni, vale a dire che c’è ancora molta strada da fare e abbiamo lanciato tutto questo. Non lanceremo davvero tutto questo un po' frettolosamente, questa è l'eterna domanda. La mia opinione fin dall'inizio è che l'abbiamo lasciata, l'abbiamo lanciata troppo in fretta, ho detto che sono molto felice, voglio ripeterlo, che tutto quello che ho detto su questa crisi sulle misure sociali e sulle misure così criticate, Jean-François Dan Fressy, che era presidente del consiglio scientifico, il quale finì per dire che era d'accordo sul fatto che avevano commesso degli errori e che, soprattutto per quanto riguarda i vaccini, erano stati troppo ottimisti, gli scrivo per congratularmi con lui per aver riconosciuto questi errori, avete visto che non è comune, i politici non lo fanno mai, i giornalisti passano ma anche gli scienziati non lo fanno, alcuni. Perché non sono veri scienziati. I veri scienziati stanno commettendo un errore.
Ciò che gli interessa è avvicinarsi alla conoscenza. Certo. Ebbene, gli ho scritto, mi ha detto che l'unica cosa che continuo a pensare è che le persone sopra i sessantacinque anni dovrebbero vaccinarsi. Lo dico, sono d'accordo. L’ho sempre detto: dobbiamo vaccinare le persone sopra i sessantacinque anni e gli obesi che rischiano di sviluppare una forma grave.
Il resto non ha prove che ciò sia di qualche utilità. Quindi penso la stessa cosa e non l'ho fatto, non ho cambiato idea da quello. Ora, le persone che hanno avuto un vantaggio, non sono sicuro che con le varianti che abbiamo attualmente siano molto meno pericolose. Non sono nemmeno sicuro di questo vantaggio. Oltretutto ho visto che la comunicazione dello Stato ormai riguardava comunque la vaccinazione dopo ottant'anni.
Sì sì, è vero. Vaccino per tutti, vaccino dopo ottant'anni, così mi accompagnano ancora nei piccoli momenti ormai superati, vedete. E quindi è interessante vedere le persone cambiare dopo. Non mi faccio illusioni, vi ho già fatto questa citazione di Max Planck ma mi piace molto, sapete, la verità non appare mai, ma questi detrattori finiscono per morire. Sì, la variante è: stai vicino al fiume e vedrai passare il cadavere del tuo nemico. Non è la stessa cosa, ma ci va molto vicino.
Ma mi dica, professor About, oggi, proprio in relazione a ciò che sappiamo, cercheremo, continueremo a cercare. Stai parlando di Terra Incognita, stai parlando del novanta per cento del genoma di cose ancora sconosciute o poco conosciute. Cosa fa sì che ciò accada, possiamo arrivare senza sognare? Non è una questione politica, è una questione scientifica. In sostanza, capisci i vaccini e e cosa è stato, è stato detto molto, qual è stato il tempo trascorso tra la scoperta di un vaccino e la sua applicazione di massa fino ad oggi Sono passati alcuni anni se sbaglio, se non ho torto. Certo certo.
SÌ. E come, sì. Siamo riusciti a trasgredire tutte le regole di sicurezza che ci eravamo dati perché da anni mi scuso per non aver effettuato un attacco dominium, ma è tanto chiaro. Da anni Bill Gates dichiara ovunque che avremo un'epidemia che ucciderà tutti, che quando questa epidemia è arrivata molto molto rapidamente dai primi due episodi di epidemia, ci siamo resi conto che morivano solo le persone sopra i settant'anni. Non sradicheremo la popolazione dalla terra finché cureremo le persone.
La grande differenza tra Parigi e Marsiglia è che a Marsiglia cureremo le persone e che a Parigi abbiamo detto loro di restare a casa e prendere Doliprane. C'erano alcuni che avevano l'ipoxilla, che può essere curata come l'influenza, può essere curata. Anche se non hai medicine efficaci, puoi curare le persone, c'erano disturbi della coagulazione, c'era l'ipossia, dovevi curare le persone, dovevi fare la diagnosi, ma a Parigi l'organizzazione dell'assistenza pubblica a Parigi non lo faceva consentire l’effettuazione di esami diagnostici. Con due mesi di ritardo, non siamo riusciti nemmeno a eseguire le PCR. Quindi, questo è ciò che ha ucciso la domanda, è uno dei motivi per cui dobbiamo continuare a parlare di questa faccenda, è prima che si avvicini il prossimo episodio, mi sono reso conto che non hanno fatto i PCR, non avevano il significa farsi fare la PCR da soli, devi solo comprare un piccolo sintetizzatore, abbiamo il tuo da questi dieci, abbiamo fatto il nostro.
In secondo luogo, il numero degli ospedali universitari attrezzati per produrre genomi in modo moderno era uno su due. Il livello delle attrezzature in Francia è pari a quello della Turchia. Quindi c'è, è vero anche per la radio, che eredita perché dico questo ma nel complesso c'è da rivedere l'organizzazione, la struttura, la resa tecnica se volete, questi sono i problemi, ci sono tanti problemi che sono proprio altrettanto interessante. Ne parleremo, ne parleremo, è proprio questo che dobbiamo riprendere perché, ancora una volta sul piano scientifico, non parleremo di politica o altro o di sociologia in termini di davvero come gestire le cose perché abbiamo visto un po' di quello che è successo. Resta con noi dopo una breve pausa. Riprendiamo con Didier Raoult.
Arrivederci. E zero ottocentoventiseitrecentocento con voi per reagire e fare subito tutte le vostre domande su Sud Radio. Sud Radio in tutte le sue forme, ore 14.00. André Berco. Questa è Radio Sud.
I francesi parlano con i francesi, le carote sono cotte, le carote sono cotte. Sud Radio Bercoff in tutti questi Stati. Mi è stato detto ad alta voce che hai detto notiziario televisivo per la città hai detto qui quando fai Pfizer la passione per i farmaci L'amministrazione americana come l'agenzia nazionale per la sicurezza dei medicinali come l'agenzia europea per i medicinali in Europa deve garantire che sia il contenuto di ciò che ti inietti persone. È una delle cose che possiamo fare perché, dopo il caos, le polemiche, ci si trova finalmente in una buona posizione per sapere cosa è successo negli ultimi tre o tre anni, anche a questo livello. In sostanza, questa trasparenza è, è possibile, è possibile, è necessaria, senza parlare delle attrezzature, come hai detto tu, un IHU su due non è attrezzato, qual è la trasparenza che è la più importante? Due cose se vuoi? tu io sono come te comincio ad averne un certo numero, credo solo ad una certa esperienza che faccio appello a questa perché sono documenti accessibili da quando ho fatto una relazione per il ministero ventidue anni fa.
Quindi, in un modo molto interessante, la paura era l'avvelenamento della CIA, la paura dell'antrace in Iraq in tutto il mondo, era solo uno strano individuo che aveva lavorato per l'esercito americano a farlo e così quando è successo, ci siamo resi conto che c'erano delle polveri di gente che faceva scherzi che mandava polveri con la farina eccetera ce n'erano in Francia milleottocento. Ci siamo resi conto che nessuno poteva occuparsene. Eravamo uno dei pochi posti in cui producevamo noi, producevamo un terzo della polvere da sparo, il resto veniva prodotto dall'esercito e un po' dall'Istituto Pasteur. Non c’è stato un altro ospedale universitario in grado di farlo. A Parigi, il CHU responsabile di una delle creature più pericolose, la tubercolosi multiresistente ai farmaci, non disponeva di un laboratorio di sicurezza di tipo p tre, non ce n'era nel CH.
Quindi dopo è fantastico. Uno dei test uno degli effetti positivi della mia relazione è che li abbiamo equipaggiati con P tre perché nessuno lo aveva fatto individualmente tranne me perché ero interessato a quello e ai batteri pericolosi con Eddy su cui stavo lavorando che aveva messo a punto un p trois che era già il più grande p trois di Francia. All'epoca la cosa straordinaria fu che scrissi che potete leggerlo in questo rapporto. Compravamo in Francia degli antibiotici chiamati kinoloni che non erano ancora brevettati ed erano molto costosi. Che non erano brevettati, sì.
Che non erano brevettati, che erano recenti. Uno della Bayer, ciprocloxacina, l'altro quello francese, il giro di puledri e Peplastin. Quando ho detto loro, perché lo fate Tutti sanno che l'antrace è sensibile a tutti gli antibiotici. Lo trattiamo con la penicillina, lo trattiamo con gli aminosi della tetracichilina, dice che abbiamo fatto come gli americani. Allora ho chiesto agli americani perché li avete presi; loro avevano preso solo la SRIF a Fluxacie;
Ne comprarono tonnellate per miliardi, crearono silos distribuiti negli Stati Uniti per una malattia che non esisteva. E Sydney Phtalogsatim, mi hanno detto che è perché esiste un modello sperimentale nei conigli che mostra che funziona bene quando abbiamo trattato dozzine di casi di antrace e se non mi credi bene, guarda il trattamento dell'antrace e lo farai vedere qualcosa di surreale su internet, forse non sarà domani perché lo dico adesso, se è un antrace naturale penicillina se è un antrace di bioteuroismo se tu che non sai come dobbiamo trattare l'antrace naturale in modo diverso dall'antrace di Il bioterrorismo è perché non vogliono riconoscere che vent'anni fa hanno stupido la gente comprando miliardi di farmaci che poi hanno buttato via. Quindi, se vuoi chiedermi se possiamo controllarlo, la mia risposta è no. Il potere finanziario di ciò rispetto al potere finanziario degli Stati non ha nulla a che vedere con quello dell’Europa. Sapete, le persone che hanno le mani nell'intera industria farmaceutica sono Bill Gates, Vanguard e BlackRock.
E BlackRock. Si tratta del terzo bilancio più grande al mondo dopo quello di Stati Uniti e Cina. Come combatterlo Dovremo inventare modi per combattere poteri di questa natura, cosa che non sappiamo come fare. Sì e sì. Per quanto riguarda, quindi la mia risposta è estremamente pessimistica, non credo che con persone che hanno somme di questo tipo, ricordate e che si sono guadagnate molta ostilità, all'inizio abbiamo guardato al numero di professori e di docenti di malattie infettive che non avevano conflitto di interessi con l’assistenza farmaceutica.
Non è stato complicato, eravamo in cinque, eravamo uno e quattro all'IHU. Quindi è stato molto sporco, è molto difficile, sono loro che pagano le conferenze, sono loro che pagano le pubblicazioni. Studi e così via. Il e tutto il resto. La seconda cosa è l'attrezzatura.
Sappiamo anche, ho appena letto, che esiste una rivista dell'OCSE che esce ogni anno, ce n'era una due anni fa che chiamava "Salute umana dalle ghiande, salute per l'Europa". Guardiamo al paese in cui ci sono meno medici pro capite, è la Francia. Quindi la Francia non è Macron, è un nuovo razzismo. È iniziato molto tempo prima. Abbiamo iniziato con Simone Veil.
Siamo passati da ottomilacinquecento persone formate all'anno a tremila con una popolazione aumentata del quindici per cento e invecchiata. E solo ora ci siamo uniti a ciò che accadeva negli anni settanta, non so, si vede il gruppo di pazzi tecnocrati che riescono a gestire tutto ciò. Se si guarda sempre la stessa cosa a livello di attrezzature in Francia per scanner e risonanza magnetica, si vede che siamo sotto la Turchia a dire il vero. Quindi il livello materiale ed è stato lo stesso per gli sponsor, vale a dire che i soldi in Francia non ci sono le attrezzature, non compriamo le attrezzature. Esiste quindi un problema reale nel comprendere il progresso che non consiste nell’acquistare farmaci a prezzi troppo alti, ma nel servire farmaci più economici quando funzionano altrettanto bene.
Ma d’altra parte la tecnologia e il nuovo dobbiamo usarla. Quindi non c’era nessun sequenziatore, lo so anche perché il presidente mi ha chiesto di aiutare a supervisionare l’implementazione del sequenziamento del virus quando si è reso conto che stavamo sequenziando meno venti volte meno dell’Inghilterra. E ci siamo resi conto che ce n'era uno su due ospedali universitari che non aveva sequenze. Scuola. È inaudito.
Quindi non ci sono linee guida, questo è ciò che mi sciocca. Non esiste una linea guida. Non stiamo dicendo di ascoltare qui, di affrontare il prossimo episodio, in modo che tutti possano fare la PCR, ognuno deve essere in grado di fare le proprie sequenze PCR. Sono le cinque. Devi essere in grado di eseguire il sequenziamento, devi essere in grado di chiedere p tre.
Tutto questo è modernità. Ebbene ascolta, grazie Paul Zaoud. Vedo che comunque ogni disperazione è permessa in una società di irresponsabilità illimitata, è un po', è abbastanza preoccupante. Grazie.
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